Bonne nuit, bonne nuit c’est l’heure d’aller au lit
C’est au doux son des Fabulous troubadors que j’essaie d’oublier la cohue qui se presse dans le métro. Et au bout de trente secondes, me voilà à sourire comme un con dans un endroit où mla promiscuité rime avec gêne de tous les instants. C’est marrant comme les gens dans le métro parisien s’évite du regard.
Rien à redire, les Fabulous me rappellent ma maison. Il pleut? M’en branle, j’ai mon Toulouse dans les oreilles. Les gens tirent la tronche? Je leur souris, certains se reprennent et sourient à leur tour. Bombes 2 bal? A écouter et surement à acheter de toute urgence.
Un voyage sur Toulouse commence à devenir non seulement inévitable, mais en plus urgent. Ca sent le week-end de trois jours au pays du soleil et du 51.