=Just Be Wise= Minimalist Blogging since 2002

Non mais où va la jeunesse ?

09.02.2004 @ 0:03 | Made by : Trem_r |

Dis à tous tes contacts , de ne pas accepter le contact »

pit_bout_de_chou @hotmail.com ».

C’est 1 virus qui va formater ton ordi
envoie ce message à tous les gens que tu as dans ta liste.

Si tu ne le fais pas et que 1 de tes amis le rajoute à ses contacts, ton ordi
sera aussi atteint.
Donc envoie le vite.

Pfiou, la peur me saisit, je vais donc envoyer ce mail aux 370 inscrits de beatnick (cake mode), à l’entière liste des mails de l’Education Agricole (allez, 20 000, au bas mot), et aussi à mon papa, ma maman, ma soeur en Inde.
Internet c’est tellement dangereux !

Uf Uf

05.02.2004 @ 17:54 | Made by : Trem_r |

(aucun rapport avec Mario & Luigi Superstar Saga)

Ayé j’ai passé le cap des 1h de jouggingue, ouaip, courrir non stop pendant une heure, avec des cotes et tout, ca fait depuis le mois de juin que je rame, que j’essaye de pas avoir la flemme, et maintenant il faudrait passer à deux fois par semaine et à un peu de musculation des jambes qui tirent au bout de 10 minutes …
M’enfin, déjà, je le fais, c’est pas si mal, nan ?

Coredumped.net

30.01.2004 @ 13:57 | Made by : Trem_r |

Binnie change d’hébergeur et de registrar, soyez patient durant le transfert !

Mall encounter

26.01.2004 @ 16:18 | Made by : Trem_r |

Ahahhahahhah qu’il la fait rire !
Et encore ce n’est qu’au téléphone portable, quand il arrivera dans une demi-heure dans le centre commercial, elle sera vraiment aux anges, et la rate dilatée comme une pupille de hippie.
Une demi-heure, juste le temps de passer chez Jenyfer, voir si ils ont soldés de nouveaux pantalons taille basse qu’elle pourrait porter avec arrogance. De ses 19 ans, avec presque 10 ans de danse et de gymnastique, elle n’avait pas un soupçon de débordage lorsqu’elle enfilait ces pantalons trop petits d’une taille, et à la fac, c’était une fierté que de se montrer comme ca devant le lot de dindes dont la plupart n’osaient même pas avouer porter un string.
Elle chassa l’idée même de la fac, de toutes manières elle savait son avenir tout tracé ailleurs, et ne souhaitait pas avoir à se préoccuper de quelconques études.
Jenyfer avait bien des jean’s taille basse, le plus dur était d’en trouver un qui ne serait pas déjà porté par une de ses amies.

Au milieu du dédale des cintres, elle ne vit pas le temps passer, et assis à la croisée des chemins magasins, entre un youka et un cendrier, il l’attendait, partagé entre de l’impatience et de l’agacement au souvenir des tics futiles de la donzelle. Il detestait ses bagues, elle en avait au moins 6, pas forcément grosses, mais encombrantes à l’oeil, et grossièrement enfoncées dans ses doigts, l’irrégularité de leur enchassement donnait des frissons à Kevin, c’était une sorte de torque. De ploque. De croque. De toque. Oui, c’est ca, de toque. Quelqu’un lui tapa sur l’épaule.
Kôhl et parfum d’encens, chemise noire et manche retroussée, il revint à son visage n’ayant pas trouvé le temps de regarder sa poitrine, mais notant mentalement qu’il le ferait dès qu’elle détournerait le regard.
« Oui ? »
« Tu n’aurais pas une .. non, désolé, je suis honnêtement désolé »
Kevin farfouilla dans son jean large au gris brillant, un Fubu, et en sorti un Zippo comme les collégiens s’en offrent lors de leur premier aller-retour en Andorre. Il le dirigea précipitemment vers le visage de la fille, celle-ci sursauta et le regarda avec un air de pitié sincère et profonde.
« Merci .. je voulais juste discuter, c’est aimable, mais je ne fume pas »
Il rangea le briquet à coté de son porte-clé Renault jaune. Et rougit. Il se demande ce qu’il pourrait bien lui dire, et essaya en coin de regarder la jeune femme. Il l’estima d’une vingtaine d’années, et sa jupe n’était pas assez courte à son gout. Elle portait de ses grosses chaussures qu’on voit chez les gens qui écoutent du métal, et il nota mentalement qu’elle n’était pas du bon coté de la barrière à cause de ca, remontant, il ne manqua pas d’observer sa poitrine, à défaut des fesses que la jupe large semblait dissimuler à dessein ou non. Sa mine était maussade, mais ses cheveux noirs et brillants, vraiment beaux, il n’arrivait pas à se dire qu’elle n’était qu’une jeune teubé bourge, comme le stéréotype l’entends.

Jennifer restait encore dans Jenyfer, elle trouvait des corsets chatoyants et des t-shirts courts lumineux, elle entassait les vêtements sur son avant-bras sans prendre la peine de les débarasser de leur cintre, elle s’imaginait déjà en train de les essayer, sentant l’odeur un peu poussièreuse mais jubilatoire du coton neuf. Elle ne sentit pas son téléphone vibrer pour la 3e fois, mais elle sentit clairement le regard du garçon qui semblait attendre son amie dans l’entrée. Elle sourit et lui présenta innocement ses fesses, sentant la chaleur de l’ego la brûler dans le ventre, et remonter le long de son dos jusqu’à son cerveau où il pétilla comme un coca frais.

Kevin osa regarder à nouveau la jeune métaleuse, il lui sourit, elle regardait ailleurs. Il fixa à nouveau sa poitrine, elle n’était pas réellement volumineuse (image mentale de films pornos, une blonde à quatre pattes avec de longs ongles roses et carrés bougeait en rythme et en gros plans, ses seins d’au moins un kilo cinq chacun oscillant avec insistance), ni même plate (image mentale de documentaires sur l’Ethiopie, une africaine d’environ soixante ans et torse nu, à la peau séchée et flétrie, couverte de mouche), il devina même entre les boutons de la chemise un soutien-gorge violet foncé, ce qui changeait du rose ou du blanc de Jennifer dont il avait plus que l’habitude.
Elle se retourna et sembla le surprendre dans son étude poussée d’anatomie, il rougit et dé-rougit en une seconde, replaçant rapidement sa tête, regard en direction du sol.
Elle l’avait vu. Non. Et puis quoi, c’était qu’une métaleuse, les métaleuses c’est toutes des putes bourges qui captent rien à la vie.
Il sentit plus précisement l’odeur d’encens, elle s’était approchée de lui.
Elle lui murmura « Ecoute, Kevin, tu ne me reconnais pas, mais je suis Virginie, j’étais avec toi au primaire, et je suis partie au moment d’entrer en 6e. Je suis revenue avant-hier, mais je ne suis revenue que pour toi »
A ce moment précis, il se sentit étranger à ses vétements. Il sentit que son pantalon était trop large, ses cheveux trop pleins de Pento, sa montre trop lâche et lourde, et cette affreuse chaïne en or lui brûlait presque la peau sur la nuque. Son polo Ralph Lauren l’irritait au plus haut point, et ses CAT semblaient peser 20 kg chacune, il sentit le sang lui monter au visage, et l’odeur de son eau de toilette changea en une odeur de sueur forte et désagréable, comme si on était persuadé que tout le monde la sentait autour.
Virginie posa sa main sur celle de Kevin, puis d’un geste simple lui déroba son téléphone portable à clapet, elle l’ouvrit et regarda la photo couleur d’une 206 Peugeot de Rally
« Je sais que tu as évolué sur une pente infâme, tu comprends ? Je sais que tu apprécies les filles futiles, que ta vie est gérée par tes amis, et que tu n’apprécie que fifty cents, mais souviens-toi, avant ca, tu étais autre chose, tu étais quelqu’un »
L’esprit de Kevin tournicota autour des solutions qui lui étaient proposée, il se retourna afin de réctifier la honte qu’il venait de subir en fierté, et apercu les yeux de Virginie, parfaitement cerclés de noir, d’un vert coloré, presque faux, un vert émeraude, un vert menthe, un vert .. Il se mit à pleurer à gros sanglots, passa sa main sous sa veste et en sorti l’énorme COLT calibre .45, et le posa sur le banc, offert à Virginie.
Elle le prit, et le vida de ses cartouches une à une en tirant la culasse plusieurs fois.
Elle avait vu Jennifer sortir du magasin, et ne pouvait prendre le risque que Kevin reperde la raison.

Jennifer sorti de Jenyfer, jeta un coup d’oeil à son portable-photo pour connaître l’heure, 3 appels en absence, elle avait 20 minutes de retard, elle jeta un coup d’oeil au haut de l’allée, là où ils se retrouvaient habituellement.
Il y avait du monde dans la gallerie marchande, et elle mit une dizaine de secondes à apercevoir le danger. « Elle » était là , à coté de lui, c’était impossible, mais le temps n’était pas aux interrogations, elle laissa tomber son sac plastique, gonflés d’achats soldés, glissa ses mains dans le dos intérieur de sa veste, sortit et assembla son PM custom, de sa botte elle dégotta deux chargeurs longs, en enficha un en courant vers sa cible.

Virginie était déjà prête, elle tenait son immense épée à deux mains, en position de reception de charge, ses cheveux voletaient étrangement, comme sous l’effet d’un courant électrostatique, elle avait les dent sérées et un rictus infâme. Les badauds au premier abord curieux, étaient maintenant paniqué, la jeune fille émit un râle d’abord sourd et profond qui devint une sorte de litanie, certains mots seulement atteignaient l’oreille et le cerveau des passants, et ils les terrifiaient, au point que pétrifiés de peur, ils ne pouvaient s’enfuir comme la plupart de leur semblables.
La première rafale arriva comme une bourrasque, imprécise du fait de la course, elle n’en était que plus dangereuse, écartant l’éventail des possibilité de mourir sur un diamère de 5 à 6 mêtres. Sur les trente premières balles, vingt avaient surtout servi à dégager la course et le champ de vision de Jennifer, les dix dernières étaient juste là pour impressionner son adversaire.
Echec, dans un cri puissant, Virginie para les balles une à une, sans bouger un seul de ses pieds enfoncés de 5 bons centimètres dans les dalles beiges du sol du centre commercial. Ses gestes étaient précis, bien faits, pour montrer à la pute blonde qu’elle aurait du fil à retordre avant de récuperer son Kévin.

Le chargeur vide claqua contre les dalles, bruit détaché au milieu des cris de panique et de la mélopée de Virginie qui avait maintenant atteint un niveau élevé de décibels, projetant une aura de crainte presque palpable alentour.
L’Ingram recommença à cracher son lot de plomb, tout aussi innefficace, Jennifer criait et courait en tirant, elle devait faire valoir la puissance de son clan, et jamais elle ne tolèrerait que Kevin repasse du coté obscur, dans la Maison du Metal, elle entendait déjà ses frères dans un nuage de fumée d’herbe lui reprocher la perte de cet élément essentiel, un gars qui avait un flow exceptionnel et qui connaissait à merveille le montage de néon sous-chassis. Elle n’aurait pas à supporter cet afront, elle le récupererait coute que coute, la Maison Tuning règnerait, son déclin n’était qu’histoire de TF1 et boniments de de 20 ANS.

Son adversaire à une dizaine de mètres, Virginie était concentrée sur la trajectoire des projectiles, elle entendait sonner au fond de sa conscience « Alma Mater », ses patriotes l’aidaient de leur sanctuaire, elle sentit l’abord des pensées de toute sa coterie, ils envoyaient toute leur puissance afin de récuperer l’Elu, détourné par une simple ré-orientation en Internat technique en zone non-dégroupée, à plus de deux heures de toute grande agglomération.

Celui-ci gisait, prostré et pleurant les larmes de l’homme dont les souvenirs de traumatismes remontent soudainement, il saisit l’horreur de tout ce qu’il avait vécu ces 5 dernières années, les soirées en boîte, les mobylettes, les matchs de foot, les écharpes de foot, les soirées foot, tout ca lui apparut sous leur plus affreux jour, le miroir de sa mêmoire lui refletait ce qu’il avait été et ce qu’il fut, il pleura encore, il ne put voir la mise à mort de son passé, executée avec précision et netteté.

Lorsque Virginie quitta le contact du sol, c’était pour un saut précis et puissant qui surpris son adversaire, empressé d’en finir en chargeant tout pistolet-mitrailleur en avant. Jennifer pensa à son brushing, juste avant que l’énorme flamberge lui brise le corps du haut du front jusqu’à la naissance de ses seins. Sous le choc, ses genous tombèrent au sol et brisèrent le carrelage en partant eux-aussi en miettes, sa colonne vertébrale se tordit comme un S scabreux, sans se briser pendant quelques secondes, la force de pression la rappela à une position naturelle qu’elle ne put atteindre, et comme le reste de Jennifer, elle se brisa dans un bruit sec, comme une petit branche que l’on casserait par jeu, par ennui.
L’allée, peut-être même la gallerie marchande elle même s’était vidée, la litanie avait pris fin, et on n’entendait plus que les sanglots de Kevin qui semblait reprendre le dessus sur lui même.
La flamberge refletait le sang plus qu’elle n’en portait, Virginie fit quelques pas, évitant soigneusement de souiller ses Docks, récupera le sac Jenyfer, en sortit en boule les vétements dont elle se servi pour essuyer les quelques particules d’os et de chair qui maculaient sa Lame. Elle émit une prière silencieuse aux dieux nordiques de la guerre, regrettant d’avoir eu à briser un si beau creuset qui aurait pu accueillir l’hydromel du clan.
Elle ramassa aussi Kevin, lui retirant son blouson en cuir marron, et écrasant d’un talon le portable argenté et la montre Festina.
« Je suis là Kevin, lui murmura-t-elle, tes parents t’ont maudit du prénom profane, mais nous réussirons à vaincre »
« J’ai … J’ai .. J’ai regardé les NRJ music awards … » il repartit d’un sanglot sincère et agité.

Les plaisirs du quotidien : changer un pneu sous la pluie

21.01.2004 @ 10:04 | Made by : Trem_r |

Hier donc, je me lève et je vois que ma voiture a un pneu casi-plat, et une vis enfoncée dedans.
Heureux, et vu que j’étais déjà bien à la bourre, je prends la voiture de la tartofrez, et je reviens à midi changer ma roue par la superbe galette (que le mécanicien qualifiera de « vraiment laide » plus tard d’ailleurs), esperant ainsi pouvoir après ma journée de travail aller la changer vu qu’elle est sous garantie.
Quel mal me pris d’aller à Feu Vert 2h avant la fermeture, le vendeur me prodiga un « c’est trop tard, revenez demain », ce à quoi je lui rétorque avec timidité mais fermeté « oui mais ca mets combien de temps si j’arrive à 8h30 ? », l »artisan du caoutchouc « et bien ca depends du nombre de personne qui arrivent avant vous, mais l’opération c’est une demi heure maximum ».
Très bien, je me lèverai tôt, je le fais bien pour aller me jeter dans la boue, apapeur.
Mercredi, 8h35, j’ai du retard, il y a 5 personnes avant moi.
Mon véhicule sera prêt à 12h15.
Maintenant, trouve un moyen d’aller du centre commercial non desservi par des transports publics jusqu’au travail.
Tartofrez refuse.

MAMAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN !

KISS DP-500

21.01.2004 @ 10:04 | Made by : Trem_r |

Voilà ca va faire deux ans que JustBeWise existe, et il y a deux ans, un de mes premiers posts exprimait ma satisfaction d’obtenir un lecteur DVD Pioneer (avec les 50 DVD pourrinx gratos), aujourd’hui, donc, j’exprime ma satisfaction d’avoir acquis un KISS DP-500, lecteur DVD sous unix avec une carte Ethernet pour lire les DivX directs du PC.
Pwapwa que nenni de XBOX, pour la modeste somme de 250 Euros, 3 CDRW à graver pour dézonner et changer le firmware, un cable réseau et un bon eMule DVD original que l’on rippe pour mettre sur son disque dur et avoir une DVD-thèque à accès rapide .. hum, on a un vrai bouffe DivX, évidemment fallait pas s’attendre à ce que tout marche, mais actuellement 24 saison 3 et des animes me suffisent, les seuls qui marchent pas sont des films de binnie (ahahHAHAhahHAH), et encore c’est juste une histoire de codec audio DivX qui devrait être résolue dans les firmwares qui viennent …
Bref, en 2 temps 3 mouvements, après avoir annulé la commande du Philips (de merde), on se retrouve avec un super bidzouil à la maison, et pas d’histoire de « sortie télé », l’image est directement interprétée par le lecteur, la qualité est donc au top, comme le film d’hier soir, « Equilibrium » nous l’a prouvé, même pas un ralentissement ou une pixellisation, on a pu profiter du Kata des armes à feu avec tout le bonheur qu’on otaku dans mon genre peut y prendre.
PAN PAN PAN.

Beat-NICK

14.01.2004 @ 15:54 | Made by : Trem_r |

Dernièrement, c’est vrai que je ramolli un peu du blog, mais ne serait-ce pas pour une raison X ?
Et bien si, voici donc après quelque temps d’effort Beat-NICK, un site où vous pourrez raconter l’histoire de votre nickname et la garder de coté au cas où on vous la demande !

My BeatNICK

Beat Your Nick !

Reminder

08.01.2004 @ 21:04 | Made by : Trem_r |

Demain c’est le

9 Janvier

.
On sait jamais, l’aut’ elle a bien eu un truc avec sa wishlist, té, faut bien tenter.
En même temps.
Faudrait que je me souvienne de l’URL de ma wishlist.
Forget it.

Mars caché

07.01.2004 @ 9:47 | Made by : Trem_r |

Maintenant ca y est, les photos de Mars en couleurs par spirit vont faire le tour du monde, mais si on regarde plus précisement une d’entre elles, exactement celle qui se nomme « windtails« , on s’aperçoit qu’il y a une délimitation centrale, comme si l’image avait été coupée en deux, puis rabotée à la va-vite.
Et bien non, ce n’est pas un collage d’image panoramique, on nous cache bien quelque chose, quelque chose qui EST sur Mars.
Heureusement, le nHK toujours plus fort, a reussi à dégoter l’original, directement transmise de spirit, elle n’a pas été retravaillée, et vous est présentée TELLE QUELLE.
On nous cache tout, hasta la liberaciòn, para tojor.

Yehaaa Noël

30.12.2003 @ 20:18 | Made by : Trem_r |

Noël ?
Point d’histoire de cadeau, Noël est pour moi synonyme de vacances, et donc d’heures perdues devant 24 (saison 3 très bonne au passage) ou divers jeux comme :

XIII : inspiré de la BD du même nom que je n’ai pas lu malheureusement (j’accroche de moins en moins au style belge depuis quelques années, et j’ai toujours trouvé les couleurs de cette bd fades et mal faites), c’est mon premier jeu en cell shading bidule, que ca ressemble à une BD justement, et j’ai pas mal apprecié, le rendu est bon, ca fait un peu crayon gras des fois, mais le jeu bien que classique niveau progression et enigmes, et néammoins sauvé par ce qui était une nouveauté niveau réalisation pour moi. Un pouce levé pour XIII !

LOTR : Return of the king : ah ben oué, adapté pour le PC et fait pour la console, j’ai du ressortir le vieux pad histoire de bien m’en sortir. Là, évidemment, c’était vendu d’avance, adapté du film, très joli bien animé, quelques combos, pas de fioriture 3D, c’est très ludique, et une fois le jeu fini, le recommencer avec des persos débloqués est un bonheur, d’ailleurs je viens de finir Faramir, au tour de Pippin maintenant !

Prince Of Persia : Sands of time : là aussi un jeu clairement fait pour les consoles, mais encore une fois, très fun, superbe, très maniable au pad, le concept du retour dans le temps n’est pas vraiment ce qui fait l’interet du jeu, pour moi c’est plutôt de marcher au mur comme un vrai cake de Matrix =)

Maintenant, qu’attendre comme nouveau jeu ?
Seulement des add-ons ! Celui de Postal2 et de Vietcong !
ARGH §

FLCL

28.12.2003 @ 3:40 | Made by : Trem_r |

Ca fait longtemps qu’on m’en parle, j’ai mis du temps à la downloader, mais l’anime de l’année, c’est bel et bien FURIKURI.
Seulement 6 épisodes, et tellement de matière, un chef d’oeuvre, bien sûr qui ne serait rien sans la musique de The Pillows. Le manga est sorti, édité chez Pika qui a pris pour habitude de sortir des best-sellers plutôt que des mangas au rabais (ils éditent GTO, Love Hina, Chobits .. en français), pour l’avoir feuilleté, c’est assez complexe d’accès, l’anime elle profite de toute la richesse et de l’excentricité qu’il est possible de mettre dans un média.
L’histoire n’est pas vraiment racontable, un fer à repasser géant, des robots qu’on supprime à coup de guitare, le cerveau comme vecteur de transport matériel, j’en ai déjà trop dit, quelques images, peu representatives de la haute estime que je porte à cette anime, vraiment, si vous ne devez n’en voir qu’une de votre vie, que ce soit celle-ci !

fulikuli

fulikuli

Inutile de préciser que mon personnage préféré est Amarao avec ses sourcils « curieux » !

Oh ! un post !

25.12.2003 @ 19:27 | Made by : Trem_r |

No one knows what it’s like
To be the bad man
To be the sad man
Behind blue eyes

No one knows what it’s like
To be hated
To be fated
To telling only lies

But my dreams
They aren’t as empty
As my conscience seems to be

I have hours, only lonely
My love is vengeance
That’s never free

No one knows what it’s like
To feel these feelings
Like I do
And I blame you

No one bites back as hard
On their anger
None of my pain and woe
Can show through

But my dreams
They aren’t as empty
As my conscience seems to be

I have hours, only lonely
My love is vengeance
That’s never free

When my fist clenches, crack it open
Before I use it and lose my cool
When I smile, tell me some bad news
Before I laugh and act like a fool

And If I swallow anything evil
Put your finger down my throat
And If I shiver, please give me a blanket
Keep me warm, let me wear your coat

No one knows what it’s like
To be the bad man
To be the sad man
Behind blue eyes

The Who – Behind Blue Eyes
mais aussi
Giles – Behind Blue Eyes
mais surtout pas
Limp Bizkit (avec la pute de 24 saison2 dans le clipouze) – Behind Blue Eyes

Un Wallpaper

19.12.2003 @ 18:06 | Made by : Trem_r |

1600*1200 mais c’est réductible, pas comme les gaulois (ahahaha.)

A fond les Brushes

Voilà, c’est mito, mais après tout, on est jamais mieux mitosé que par soi-même (à retenir pour plus tard)
Comment ça abus de Brushes ?

OH OH OH

15.12.2003 @ 17:11 | Made by : Trem_r |

Santa Saddam

« Now I have a big machinegun ! oh oh oh ! »
(idea from Titot )

Moins 5

10.12.2003 @ 22:36 | Made by : Trem_r |

Dans le monde de 24, il vaut mieux se planquer quand on s’approche de moins 5 de l’heure, car c’est toujours à ce moment là qu’un truc grave se passe.

Il vaut mieux pas s’appeler Bauer quand on est une femme aussi, sous peine de voir son QI ne pas dépasser 24, justement.

KOTOR

03.12.2003 @ 22:54 | Made by : Trem_r |

Star Wars : KotOR.
Pffffffff …
Pourquoi en ce moment les jeux Star Wars sont si plats ?
Avec Jedi Academy, j’étais un petit peu déçu, mais j’avais mis ca sur le compte du manque d’originalité par rapport à l’opus précédent, mais là, avec Knights of the Old Republic, je me disais « chouette, ca va renouveller le genre », et ben complétement loupé …
Non seulement c’est moche, mais pour afficher cette mocheté il faut une machine 4 fois comme la mienne, en plus, c’est 8h de dialogues avec 25 réponses possibles d’un interêt atteignant rarement Question pour un Champion (où à la fin on gagne des Larousse, c’est toujours mieux qu’un medpack), après m’être dit 8-10 fois intérieurement « c’est votre dernier mot, padawan », utilisant par la même une combo des expressions-blagues à la mod du moment, j’ai décidé d’en finir et de desinstaller ce pot de pus sans nom, dont seule l’estampille SW permettra d’en vendre plus de 23.
Je comprends pas comment Marc a pu passer 40 heures là-dessus, sûrement que la version XBOX est bien plus jouable et interessante, dans tous les cas, même pas pouvoir binder les flèches pour se déplacer, c’est à la limite de l’acceptable pour un produit à 50 Euros et 4 CD.

Faut dire aussi, je sors de Max Payne2 et Call Of Duty là .. bon, je désinstalle ca (et T3 : Rise of the machine, un BF1942 dans le monde post-apo de Terminator, pas trop mal, et léger) et je me remets aux modes chronométrés de MP2, car ce jeu vaut toutes les sorties de Noël, y’a même des affiches dans la rue et tout, top mytho, mais y’a rien à redire, réa parfaite, scénar en béton, j’avais peur qu’avec ma rougne on en tire qu’une image toutes les 24 secondes, ben que nenni, avec la config mini je tourne en settings moyens, et pas un ralentissement, et c’est beau sa mère, C’EST BEAU !!
Autant je dis quand j’aime pas, mais autant j’en rajoute quand j’aime, alors Max Payne 2, c’est beau, et le digipack aussi, et Mona Sax aussi (Sax, Sex, pitain, ces norvégiens, sont un peu border-line là tout de même).

Conclusion = les jeux faits en Europe hors de la France pètent tout, surtout quand c’est en Pologne (Vietcong, ou vers là, je sais plus) ou dans un endroit froid et au Nord (MP2, finlandais ou norvégiens, chaiplus), le reste, y’a du retard à rattraper.

Bloggé !

03.12.2003 @ 19:51 | Made by : Trem_r |

Pof !
Ayé j’ai dit une phrase bête seulement, ca a suffit =)

Moi comme phrase bête j’aurais aimé que le journaliste garde « j’adore les blogs d’adolescentes », mais comme dit Triplie « le format trem, le format »

Donc et bien si vous avez eu le temps de noter l’adresse, de la taper dans vot’browser, welcome !

Parlons-en

01.12.2003 @ 19:06 | Made by : Trem_r |

Donc, au cas où vous ne le sauriez pas, Tartofrez et moi, accompagnés de Kitof, passons ce mercredi 3 décembre au soir sur le Mouv’ entre 19h et 20h, nous parlerons des blogs, et un peu des flashmobs, à vrai dire chapeau au journaliste qui a le difficile boulot de condenser l’heure de discute en quelques secondes-flash avec des phrases gimmic du genre « j’adore les blogs d’adolescente » ou autre « je lis Nacara ».
Allez on se revoit juste après pour dire bonjour aux nouveaux et pour analyser ce qu’il en est sorti !

This is the fucking kilopost

01.12.2003 @ 18:00 | Made by : Trem_r |
1k

Ben c’est arrivé, aujourd’hui, maintenant, ce post est donc le 1000e de JBW, identifiant de la base faisant foi.
Ca fait déjà un bon mois que je réflechis à ce que va être ce 1000e post, dek\ avait demandé que je sois tout nu dessus, mais il a oublié entre temps, ce qui me rassure du coup.
J’ai pensé faire mon éternel changement de page index qui ponctue un évenement important, mais j’ai trouvé ca trop classique, je le réserve aussi pour les 2 ans du blog qui arrivent à grand pas, oui, y’aura un grand 2, comme pour les un an.

L’idée m’est finalement venue hier, et il était temps parce que si je trouvais rien, j’aurais été condamné à attendre une solution avant de dire d’autres conneries, comme par exemple que mercredi 3 décembre entre 19h et 20h, tartofrez et moi passons sur le mouv’ pour parler de nos blogs justement.
Fatalement, arrivé au point où j’en suis, il est naturel de faire un peu le point, une sorte de bilan général, et c’est ca, oui, que j’ai trouvé comme idée, c’est pas super recherché, mais ca m’fait plaisir, c’est bien l’essentiel, té.
Des petites cases, comme d’hab.

1. Bilan Professionnel

Depuis septembre on m’a mariné de « bientôt », « peut-être », « on verra », et moi je regardait défilé le manque flagrant d’annonces sur le site de l’ANPE, tout en regardant ma compagne déprimer sur le vide complet de l’emploi en informatique actuellement. Je me voyais déjà en train de ramer sans un copec, de devoir supplier un employeur pour un mi-temps au smic, bref, c’était mal embouché comme qui dirait.
Fin novembre enfin une réponse ressort, à force de pression de mes supérieurs, et elle semble positive, je me soulage, l’instant d’un apero pour fêter ca, pour apprendre que même si on veut me garder, ca risque de ne pas être possible « vu la conjoncture actuelle dans la fonction publique ». Evidemment, mon esprit critique imagine toutes les merveilleuses choses qui font que la conjoncture actuelle permettent à certains de s’en sortir merveilleusement en allant faire quelques voyages « importants » au Canada, dans les îles ou tout simplement en Europe, mais que voulez-vous, c’est « essentiel à la fonction ».
Je ne m’étalerai pas sur les excès et sur les choix financiers de l’administration, mon regard est trop subjectif, et je pourrais dire du mal, ne crachons pas dans la soupe, mon contrat se termine le 4 janvier, et j’aurais connaissance des décisions financières le 9, ahahah me direz-vous, et oui, c’est comme ca, « on ne peut rien changer ».
PS: le 9 c’est mon anniversaire, j’éspère avoir un joli cadeau.
Autrement, je suis passé de l’investissement -10 à 75% au niveau travail. Je crois avoir produit plus de taf dans les 6 derniers mois que durant les 5 années auparavant, ce n’est pas une question de motivation, mais plutôt de maturité, je me suis juste mis à être un peu plus sérieux, tout en conservant la marge de manoeuvre idéale pour avoir le temps de regarder quelques mails et quelques forums tranquillement, voire poster sur le blog. J’ai évalué ces 75% au pourcentage que mon salaire representait vis à vis de ma valeur sur le marché, évidemment, c’est une évaluation totalement fausse vu qu’en ce moment, un ingénieur info peut se trouver content de pouvoir servir des 280 à la caisse plutôt qu’au drive.
Bilan final = mitigé à tendance optimiste, il y a peu de chances qu’on me jette, mais elles existent.

2. Bilan niveau Paintball

Finement lié à mon travail, le paintball s’en est trouvé amoindri lors de mes choix d’investissement, avec le peu d’argent que j’avais à répartir entre bouffer et dormir, et jouer.
J’ai aussi constaté, si je ne le savais pas encore, que de peu fréquenter les terrains apporte une perte substantielle de niveau, qu’il est extrèmement difficile de rattraper. L’an dernier j’avais mis de coté mon rôle de joueur pour aider à former les 3 nouveaux arrivants Dagnir Dae, de jeunes joueurs loisirs que plutôt que de séparer en n’en prenant qu’un, nous avions souhaité former comme une vraie relève, test de fair play et de gentillesse à l’appui.
Depuis les temps ont malheureusement changé, mes conseils se relevent de plus en plus superflu, normal, ils avancent, je recule, il fallait forcément qu’on arrive à un point où je ne pourrais rien apprendre de plus. Rajoutons à ca l’agacement que mes conseils provoquent, que j’ai pourtant toujours essayé de prodiguer avec gentillesse, comme on aime vraiment à le faire à PBE ou chez les Dagnir, être constructif, avancer, et rester soudés, malheureusement les regards haineux, lassés, les remarques grinçantes, et les blablas dans mon dos, m’ont vite refroidi, me permettant pour mon plus grand bien de mon concentrer sur mon jeu à nouveau.
Certaines fois, avec patrice nous nous posons la question sur ce que sont devenus les espoirs que l’on mettait dans cette nouvelle génération de Dagnir, etait-ce nous qui étions réellement dépassé ou avions-nous été comme des parents gatant trop leurs enfants ? Je suis partisan de l’attente et j’attends l’évolution d’une jeune-vieille équipe, avec des dinos fondamentaux près à tout pour rester dans la course et qui croient en un idéal pour contrebalancer les dents trop longues.
Ma position au sein de l’équipe varie selon mon actualité financière et médicale, globalement, j’ai du mal à imposer ma présence qu’en tant que coach je refuterai par manque de niveau et de présence/motivation. Encore une fois, mon emploi saura déterminer ce que je serais capable de donner aux Dagnir, ainsi que l’évolution de mon couple, qui tends à une extention de liberté.
Bilan final : s’occuper un peu plus de soi, c’est le creux de la vague, s’accrocher à la planche et faire le plus de millennium possibles.

3. Bilan famillial

Que dire si ce n’est que comme depuis tout le temps, ma famille reste le ciment de ma vie ? Mes parents s’aiment, ils aiment leurs enfants, mes soeurs sont belles, la grande part en Inde étudier, l’autre attaque le CM1 en aimant les maths, je peux les voir tous les jours et me reposer de la monotonie environnante, ma maison est toujours remplie de gamins, c’est toujours « ma » maison, même si je vis dans un autre « chez moi », ces gamins rigolent, ils chient des tonnes de merde que ma mère passe sont temps à leur retirer, mais on assiste à leurs premiers pas, leurs premiers mots, et à chaque fois, c’est extrèmement revigorant pour le moral !
4. Bilan sentimental

*Censored*

5. Bilan global

Vous avez vu quelque chose de positif ?
Moi je persiste à trouver que toute ma vie est une chance et placée sous une bonne étoile. Je ne cède pas au fatalisme, j’insiste, j’ai la foi, je n’ai pas peur, je suis détaché de la haine pure et de la méchanceté, rien ne m’affecte tant qu’il ne touche pas ma famille, j’ai bouffé des coups, mais jamais trop méchants, mon bouclier de moral n’est pas entamé, il n’a jamais été mis à rude épreuve, à moi de le garder en l’état en relativisant sur tout ce qui m’arrive ou ne m’arrive pas, ma situation est l’idéal de beaucoup en ce bas monde, et j’en suis conscient, et de toutes manières, comme je l’ai toujours fait, je continuerai quoi que les autres en pensent, parce que merci JBW, j’ai appris à être egoïste et détaché, et à savoir ce que je veux sans en démordre, sachant pertinemment que même si le choix est mauvais, c’est celui que j’ai fait, seul ou influencé, je ne regrette rien.

Ceci était le 1000e post de JBW.
Il aurait pu être une page index spéciale, il aurait pu être une fiction, une image, une phrase simple et bête.
Il fut ce que je suis aujourd’hui, 1er décembre 2003, et encore, entre 18h et 19h, il se peut que cela change dans les minutes qui viennent, qui sait ? C’est pour ca que je suis là, parce qu’il y a toujours des blagues de la vie que je ne veux pas rater, et des girafes à boire avec Marc et Yann.